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 CONTEXTE ☞ They wanted to be heroes

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Capitole

Capitole



Messages : 73
Date d'inscription : 14/07/2011

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MessageSujet: CONTEXTE ☞ They wanted to be heroes   CONTEXTE ☞ They wanted to be heroes EmptyDim 7 Aoû - 18:46

contexte
THEY WANTED TO BE HEROES



DISCOURS DU PRESIDENT DES ETATS-UNIS A SES MINISTRES ET CONSEILLERS.
Mes amis, l’heure est grave. La troisième guerre mondiale a été déclenchée. Plus personne n’est en sécurité. Les pays qui se disaient amis ont fini par se retourner contre nous. Nous n’avons plus d’autre choix. Je déclare le plan V4682. Enclenché.
C’est par ce discours que toute la population des Etats-Unis d’Amérique fut condamnée. Un envie de supériorité. De conquérir le monde. Et la création d’un virus pour les anéantir tous. Ce virus V4682 a été mis au point pour décimer les armées ennemies, et profiter de cet impact pour détruire des populations entières. Il devait assurer la sécurité de leur peuple. Mais tout a échoué.

Il a fallut qu’une simple fenêtre reste ouvert. Que le laboratoire ne pense jamais à cette personne là. Et que la taupe leur fasse payer l’injustice qu’ils allaient commettre. C’est le 10 janvier 2009 que le premier cas de « zombie » a été recensé sur le territoire américain. Un homme est mort d’un cancer pour en acquérir un autre, bien plus terrible encore. Les morts revenaient à la vie, un à un, et le gouvernement n’a jamais avoué sa faute. Pire encore. Il en a profité.

Un premier bombardement le 1er février 2009 à Los Angeles, CA. Puis un second à Denver, TX. Les attentats se poursuivaient et comme seule réponse ils ont donné : « Nous sommes en guerre. Protégez-vous. Et que Dieu vous garde. » Le message du président passait en boucle sur les télévisions et les radios de tout le pays. Jusqu’au jour où tout s’est éteint.

Il n’y avait plus de refuge sans craindre l’arrivée d’une horde de zombies affamés, ou d’une bombe. Il n’y avait plus assez de nourriture pour pouvoir survivre. Il n’y avait plus d’électricité, ni d’eau chaude, pour subvenir aux besoins naturels. Les seules choses encore en vie : les armes, la peur, et le mensonge. C’est par ce troisième effet que le gouvernement a offert le refuge à des milliers de personnes. Un message qui passait en boucle à la radio, et un seul espoir : retrouver la ville fortifiée.

Mais le gouvernement, dorénavant appelé Capitole, ne compte pas laisser n'importe qui entrer dans ses murs. Les personnes malades, handicapées, ou encore homosexuelles sont rejetées. Abandonnées dans un enfer morbide où chaque pas peut être le dernier. Ils n’ont pas voulu d’eux, pour une simple raison : des tests.

« Il n'y a pas de poison sans contre-poison. » Pierre Dac
La ville fortifiée est maintenant close depuis 1 an. Nous sommes en décembre 2011. Des enlèvements. Encore et toujours plus pendant toute une année. Une année durant laquelle des innocents sont morts, pour une simple raison : trouver un remède au virus qu’ils ont créé. Mais certains savent. Ils se rebellent et attaquent. Ils sont cachés dans les coins et recoins de la ville, parfois même à l’extérieur. Ils en ont eu assez de toute cette mascarade. On les appelle les Firefly. Une unité de résistance, prête à tout pour démanteler le petit jeu sordide que le Capitole a mis en place.

La guerre est terminée depuis bien longtemps et pourtant les bombardements continuent. Chaque jour. Chaque nuit. Une nouvelle détonation. Et les zombies prolifèrent aux quatre coins du pays, ne laissant aucun répit pour ceux qui sont encore à l’extérieur. A quelques mètres de la ville. Un camp. Des réfugiés. Ceux qui n’ont pas pu entrer dans la ville pour la plupart, mais certains vagabonds, venus s’arrêter pour quelques jours à peine, ou encore des Firefly. C’est ici que sont accueillis les évadés de la ville, mais aussi les évadés du laboratoire.

Certains ont pu s’échapper. Dans l’enceinte de la ville ils ont couru pour leur survie et ont fini par trouver refuge dans un tout autre enfer. On leur apprend les banalités de la vie sur le camp, à se servir d’une arme, à se rationner, à ne pas se laisser surprendre par un zombie ou par un pacificateur. Soldat du Capitole. Il ère dans les rues de la ville, mais sort, parfois, pour trouver une proie, un cobaye, ou un résistant chevronné.

Bienvenue en enfer. Bienvenue au Capitole.
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